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Conférence de presse du 27 juin 2022 tenue par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Zhao Lijian

2022-06-27 23:55

CCTV : Selon les informations, la 24ème Assemblée générale de la Faculté latino-américaine de sciences sociales (FLACSO) qui s’est tenue le 24 juin 2022, a adopté une résolution avec une majorité confortable pour admettre la Chine à l’organisation en tant qu’État observateur. Le conseiller d’État et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a été invité à délivrer un discours par vidéo. Pourriez-vous nous partager plus de détails ?

Zhao Lijian : La Faculté latino-américaine de sciences sociales (FLACSO) a récemment tenu sa 24ème Assemblée générale à Quito, capitale de l’Équateur. Après un vote à l’Assemblée générale, la Chine est officiellement devenue un pays observateur de la FLACSO. Dans son discours par vidéo prononcé lors de l’événement sur invitation, le conseiller d’État et ministre des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré que la Chine attache une grande importance à sa coopération avec la FLACSO et souhaite saisir cette occasion pour renforcer davantage leur coopération, renforcer les échanges et l’enrichissement mutuel entre la Chine et les pays d’Amérique latine et des Caraïbes (ALC), afin apporter plus de sagesse et de force’ au développement durable de la Chine et des pays d’ALC. Il n’y a pas si longtemps, le président Xi Jinping a présenté l’Initiative pour le Développement mondial et l’Initiative pour la Sécurité mondiale, ouvrant la voie au maintien de la paix et de la sécurité mondiales ainsi que pour promouvoir le développement durable du monde entier. La Chine est disposée à travailler avec les pays d’ALC pour préserver conjointement la paix et la tranquillité, stimuler la reprise économique, améliorer le bien-être du peuple et construire une communauté de destin Chine-ALC.

Après l’Assemblée générale, l’ambassadeur de Chine en Équateur a organisé un événement de célébration, auquel ont participé Francisco Valdés Ugalde (président du Conseil suprême de FLACSO), Josette Altmann-Borbón (secrétaire générale de FLACSO), Qiu Xiaoqi (représentante spéciale du gouvernement chinois pour les affaires latino-américaines) qui était en visite dans les pays d’ALC, et les ambassadeurs de Chine au Costa Rica et au Salvador. Au nom de la partie latino-américaine, la secrétaire générale Josette Altmann-Borbón a vivement salué l’engagement de la Chine à intensifier les échanges académiques avec les pays d’ALC et a exprimé sa volonté d’approfondir davantage’ l’enrichissement mutuel culturel entre les deux parties et de promouvoir l’innovation et le développement au bénéfice des deux parties.

Le fait que la Chine devienne pays observateur de la FLACSO est un événement important et joyeux dans les relations entre la Chine et les pays d’ALC. C’est la première fois au cours des 10 dernières années que la Chine établit des relations institutionnelles avec une organisation d’ALC. Depuis l’année dernière, les deux parties ont organisé conjointement une série de « Conférences sur la Chine contemporaine », qui ont joué un rôle positif dans le renforcement de la compréhension et de la confiance mutuelles entre la Chine et les pays d’ALC. À l’avenir, la Chine souhaite travailler avec la FLACSO pour consolider davantage l’adhésion publique aux relations bilatérales Chine-ALC, favoriser une meilleure participation des pays de la région à l’Initiative pour le Développement mondial et pour l’Initiative pour la Sécurité mondiale, et œuvrer ensemble à la construction d’une communauté de destin Chine-ALC.

China News Service : Après que le gouvernement américain a annoncé l’entrée en vigueur du soi-disant « Acte sur la prévention du travail forcé des Ouïghurs (UFLPA) » la semaine dernière, le 25 juin 2022, le coordinateur du Conseil de sécurité nationale (NSC) pour les communications stratégiques, John Kirby, a exprimé une fois encore ses inquiétudes concernant le soi-disant « travail forcé » en Chine lorsqu’on l’interroge sur le Sommet du G7. Avez-vous un commentaire à faire à ce sujet ?

Zhao Lijian : Le travail forcé n’existe pas en Chine, mais aux États-Unis. Pendant un certain temps, les États-Unis ne cessent de répéter à plusieurs reprises le mensonge du « travail forcé au Xinjiang » qui est fabriqué et propagé par les États-Unis, dans le but de contenir la Chine et de créer du « chômage forcé » au Xinjiang pour réaliser leur sinistre complot visant à « contrôler la Chine avec le Xinjiang ». Les faits ont prouvé, cependant, que ces allégations absurdes des États-Unis sont le reflet de leur propre culpabilité.

Le travail forcé est un problème persistant aux États-Unis depuis leur création, et leur longue histoire d’esclavagisme témoigne de l’ampleur de leurs pratiques en la matière. Selon les statistiques, entre 1525 et 1866, plus de 12,5 millions d’Africains au total ont été expédiés vers l’Amérique pour effectuer le travail forcé. De nombreux esclaves noirs ont été contraints de travailler dans les bas-fonds de la société, soumis à des conditions de travail épouvantables, à un travail intense et tourmentés par les fouets de leurs propriétaires. La fortune des États-Unis s’est accumulée avec le sang, les larmes, la sueur et la vie des esclaves.

À ce jour, les États-Unis restent le pays le plus touché par le travail forcé et sont connus comme un pays d’« esclavage moderne ». Le site Web de l’Université de Denver a révélé qu’il y a actuellement au moins 500 000 personnes vivant sous l’esclavage moderne et qui sont contraintes de travailler. Le travail forcé est un problème omniprésent dans 23 industries, notamment dans les services domestiques, l’agriculture, les ventes touristiques, la restauration, la santé et la beauté. Les États-Unis sont un pays d’origine, de transit et de destination pour les victimes du travail forcé et de l’esclavage. La traite des êtres humains peut se trouver dans n’importe quel secteur, qu’il soit légal ou illégal. Chaque année, jusqu’à 100 000 personnes sont victimes de la traite de l’étranger aux États-Unis pour le travail forcé. Il y a environ 500 000 enfants qui travaillent dans l’agriculture aux États-Unis, et l’Organisation internationale du travail s’inquiète depuis de nombreuses années des graves accidents du travail dont sont victimes les enfants qui travaillent dans les exploitations agricoles américaines.

Alors que le gouvernement américain est occupé à colporter des mensonges et des rumeurs sur le « travail forcé » dans d’autres pays, il ignore travail forcé qui se passe dans son propre pays. Il n’a toujours pas ratifié la « Convention sur le travail forcé 1930 ». Il semble que le « phare des droits de l’homme » ne réussisse pas à braquer ses projecteurs sur la sombre histoire des États-Unis, et aucune arme dans sa « boîte à outils des droits de l’homme » ne pourrait viser ses propres maux sociaux. Les États-Unis doivent regarder en face leur grave problème de travail forcé et répondre aux préoccupations de la communauté internationale dès que possible. Après tout, les États-Unis ne peuvent pas nettoyer leur propre terrain en créant des rumeurs sur les autres.

Phoenix TV : Le 24 juin, la Maison Blanche a publié une déclaration selon laquelle les États-Unis établiront officiellement le « Partenariat dans le Pacifique bleu » (PBP) avec l’Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni. La déclaration indique que les cinq pays renforceront leur coopération pour répondre à la pression croissante sur « l’ordre international fondé sur des règles » dans le cadre du PBP, soutenir la prospérité, la résilience et la sécurité dans le Pacifique et mener une coopération avec les pays insulaires du Pacifique sur le changement climatique, la sécurité maritime et la santé. Quel est le commentaire de la partie chinoise à ce sujet ?

Zhao Lijian : Récemment, Wang Yi, conseiller d’État et ministre des Affaires étrangères, a effectué une visite "complète" dans les pays insulaires du Pacifique Sud,’ et a fortement stimulé le développement du partenariat global stratégique entre les deux parties. La Chine et les pays insulaires du Pacifique apprécient leur amitié traditionnelle et s’engagent à renforcer la confiance politique mutuelle, à approfondir la coopération pragmatique, à relever ensemble les défis et à réaliser un développement commun.

La Chine salue les efforts tangibles déployés par tout pays pour promouvoir le développement et la prospérité des pays insulaires du Pacifique Sud. Parallèlement, je tiens à souligner que toute initiative de coopération avec le Pacifique Sud doit répondre à la tendance de notre époque que sont le développement pacifique et la coopération gagnant-gagnant, et respecter l’indépendance et la souveraineté des pays insulaires du Pacifique. De telles initiatives ne doivent pas être conçues pour tisser des alliances, former des « petits clans » et même viser un tiers ou porter atteinte à ses intérêts.

CCTV : Le 26 juin, le Comité électoral national du Cambodge a publié les résultats officiels de la 5ème élection du conseil de commune (Sangkat), et le Parti du peuple cambodgien a remporté une victoire écrasante. Quel est le commentaire de la partie chinoise à ce sujet ?

Zhao Lijian : Nous félicitons le Cambodge d’avoir organisé avec succès la 5ème élection du conseil de commune (Sangkat) et le Parti du peuple cambodgien d’avoir remporté l’élection. La partie chinoise est disposée à travailler ensemble avec la partie cambodgienne afin de construire une communauté de destin d’importance stratégique pour le bien des deux peuples.

Associated Press of Pakistan : La Chine a organisé un Dialogue de haut niveau sur le développement en marge des BRICS. Les médias rapportent la participation du Pakistan. Avez-vous un commentaire à faire là-dessus ?

Zhao Lijian : La décision de tenir le Dialogue de haut niveau sur le développement mondial a été basée sur une concertation entre les pays BRICS. La Chine et le Pakistan sont des partenaires de coopération stratégiques de tout temps. Le Pakistan est un membre important du « Groupe des amis de l’Initiative pour le Développement mondial ». La Chine attache une grande importance au rôle important du Pakistan dans la promotion du développement mondial, la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de développement durable de l’ONU et le renforcement de la coopération régionale. Depuis longtemps, la Chine et le Pakistan maintiennent une communication et une coordination étroites. Nous avons mené une coopération substantielle sur le développement, apportant des avantages tangibles aux peuples des deux pays et de la région. Le Pakistan reste un partenaire prioritaire pour la Chine dans la mise en œuvre de l’Initiative pour le Développement mondial et nous continuerons à travailler avec le Pakistan pour faire avancer le développement mondial.

Beijing Youth Daily : Le 23 juin, la Cour suprême des États-Unis a annulé une loi de l’État de New York qui restreignait le port dissimulé d’armes à feu en public. Cette décision a suscité un tollé dans l’opinion publique américaine et a accru les craintes que la violence armée ne devienne encore plus incontrôlable. Quel est le commentaire de la partie chinoise à ce sujet ?

Zhao Lijian : J’ai pris note des rapports connexes. J’ai également lu que le lendemain de l’adoption de cet arrêt, les tirs ont repris dans les rues de Chicago, aux États-Unis, et qu’une petite fille de cinq mois seulement a été tragiquement abattue.

Les États-Unis souffrent du problème de violence armée la plus sévère au monde. Le nombre de victimes ne cesse d’atteindre de nouveaux records. En moyenne, 122 personnes sont mortes d’armes à feu par jour. Pour le public américain, la brume de la violence armée et la peur de la mort forcée planent presque tous les jours. Selon les statistiques du site Web de l’organisation Gun Violence Archive, depuis le début de cette année, près de 21 000 personnes ont perdu leur vie à cause de la violence armée et 279 fusillades de masse ont eu lieu aux États-Unis, dans chacune desquelles quatre personnes ou plus ont été tuées ou blessées. Face à des statistiques aussi sombres, les politiciens américains n’ont pris aucune mesure substantielle.

On ne peut que se demander ce que les politiciens américains ont fait face aux innombrables vies perdues et aux familles dévastées, à part adopter des poses factices à des fins politiques ? De nouvelles tragédies se produisent l’une après l’autre et secouent sans cesse la conscience morale, alors que le souvenir de la fusillade de l’école primaire de Robb au Texas est encore frais. En quoi les politiciens américains pensent-ils pouvoir moraliser les autres sur les droits de l’homme, s’ils ne peuvent même pas protéger la vie des enfants américains ?

CRI : Le roi cambodgien Norodom Sihamoni et la reine mère cambodgienne Norodom Monineath Sihanouk ont récemment présenté leurs condoléances et offert des dons à la partie chinoise suite aux inondations dans le sud de la Chine. Quel est le commentaire de la partie chinoise à ce sujet ?

Zhao Lijian : En tant qu’amis irréductibles, la Chine et le Cambodge ont toujours eu une tradition de soutien et d’assistance mutuels. Le roi Norodom Sihamoni et la reine mère Norodom Monineath Sihanouk ont fourni leur aide généreuse à plusieurs reprises lorsque la Chine a déjà été frappée par des catastrophes naturelles. Cette fois-ci, ils ont à nouveau soutenu la Chine dans sa lutte contre les inondations, ce qui témoigne de la profonde amitié de la famille royale cambodgienne pour le peuple chinois et reflète parfaitement l’esprit de la communauté de destin Chine-Cambodge. Nous apprécions hautement ce qu’ils ont fait et tenons à les remercier sincèrement.

Reuters : Les dirigeants du G7, qui se réunissent en ce moment, ont déclaré qu’ils visent à lever 600 milliards de dollars pour engager des projets d’infrastructures dans les pays en développement, afin de contrer l’initiative chinoise « la Ceinture et la Route ». Quel est le commentaire de la partie chinoise à ce sujet ?

Zhao Lijian : J’ai pris note des rapports connexes. Ils ont déclaré que l’initiative chinoise « la Ceinture et la Route » avait généré des pièges de la dette. Il s’agit d’un faux problème qui ne tient pas la route. Pendant neuf ans depuis sa création, l’initiative « la Ceinture et la Route » a suivi le principe dit de consultation approfondie, de construction conjointe et de partage des résultats et a apporté des avantages tangibles aux peuples des pays partenaires. Selon les prévisions de la Banque mondiale, si tous les projets d’infrastructures de transport de l’initiative « la Ceinture et la Route » sont réalisés, d’ici 2030, ces projets généreront 1,6 billion de dollars de revenus pour le monde chaque année, soit 1,3 % du PIB mondial. Jusqu’à 90 % des revenus seront partagés par les pays partenaires, et les économies à revenu intermédiaire et à faible revenu en bénéficieront le plus. De 2015 à 2030, l’initiative « la Ceinture et la Route » pourra contribuer à sortir 7,6 millions de personnes de l’extrême pauvreté et 32 millions de la pauvreté modérée. En fait, les États-Unis sont les véritables créateurs du « piège de la dette » : leur politique monétaire expansionniste, l’absence d’innovation financière réglementaire et les ventes à découvert malveillantes ont alourdi le fardeau de la dette des pays en développement et sont à l’origine de la chute des pays concernés dans le « piège de la dette ».

En ce qui concerne la nouvelle initiative présentée par le G7 que vous avez mentionnée, la Chine accueille toujours favorablement les initiatives qui promeuvent le développement des infrastructures mondiales. Cependant, nous pensons qu’il n’est pas question de se remplacer par diverses initiatives connexes. Nous nous opposons aux paroles et aux actions qui favorisent les calculs géopolitiques et dénigrent l’initiative « la Ceinture et la Route » sous la bannière du développement des infrastructures.

J’ai également remarqué qu’il y a un an, c’était également lors d’un Sommet du G7 que les États-Unis avaient proposé l’initiative « Build Back Better World » (B3W), promettant de développer les infrastructures mondiales d’une manière différente de l’initiative « la Ceinture et la Route ». Qu’il s’agisse de l’initiative « Build Back Better World » ou de toute autre initiative, la communauté internationale veut voir de véritables investissements et des projets qui profiteront réellement aux peuples.

Bloomberg : Le président Xi Jinping assistera-t-il aux célébrations de Hong Kong le 1er juillet en présentiel ou par vidéo ?

Zhao Lijian : Nous avons publié un communiqué de presse à ce sujet. Veuillez-vous adresser aux autorités compétentes pour toute question spécifique.

AFP : Selon les médias australiens, la Chine a invité les ministres de dix pays insulaires du Pacifique à une réunion par vidéo avec le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi qui se tiendra le mois prochain. Pouvez-vous confirmer cette information ?

Zhao Lijian : À ma connaissance, ces informations s’écartent sérieusement des faits.

Bloomberg : Le ministère ouzbek de l’Énergie a déclaré la semaine dernière que les membres de l’Organisation de coopération de Shanghai se sont rencontrés récemment pour discuter de la coopération dans plusieurs domaines de l’énergie, notamment dans la sécurité énergétique et les énergies renouvelables. Quel rôle la Chine jouera-t-elle dans cette coopération ? La Chine et la Russie ont-elles conclu des accords spécifiques sur le commerce de l’énergie et la sécurité énergétique lors de cette réunion ?

Zhao Lijian : Je vous renverrais aux autorités compétentes pour la question spécifique que vous avez posée. Ce que je peux vous préciser, c’est que depuis plus de 20 ans, l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), tout en respectant l’esprit de Shanghai, a approfondi la coopération dans divers domaines et a créé un nouveau modèle de coopération. Il a joué un rôle vital dans le maintien de la sécurité et de la stabilité régionales et dans la promotion du développement et de renouveau des pays partenaires. La Chine est disposée à travailler avec toutes les parties pour approfondir continuellement la coopération politique, sécuritaire, économique et commerciale, énergique et culturelle, et apporter des contributions de l’OCS à la paix et au développement de la région et même du monde entier.

AFP : La réunion des ministres des Affaires étrangères du G20 aura lieu en Indonésie le mois prochain. Pouvez-vous confirmer si le conseiller d’État et ministre des Affaires étrangères Wang Yi y assistera en présentiel ou par vidéo ?

Zhao Lijian : Je vous prie d’y prêter attention. Nous publierons les informations connexes en temps opportun.

Reuters : Le ministre des Affaires étrangères de Tuvalu a décidé de se retirer de la Conférence des Nations Unies sur les océans qui se tient au Portugal après que trois participants taïwanais de la délégation de Tuvalu se sont vu refuser la participation. Avez-vous un commentaire à faire à ce sujet ?

Zhao Lijian : Il n’y a qu’une seule Chine dans le monde et Taïwan fait partie intégrante de la Chine. Le principe d’une seule Chine est une des normes fondamentales régissant les relations internationales et un consensus partagé de la communauté internationale. Il s’agit aussi d’un principe fondamental affirmé dans la résolution 2758 de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Les autorités taïwanaises ont l’habitude de recourir à de tels stratagèmes dans les affaires internationales, de s’abaisser à rejoindre la délégation d’un autre pays étranger pour emboîter le pas et se faufiler dans la Conférence des Nations Unies sur les océans. En fait, elles ne peuvent que s’en attirer la honte. La Chine suit le véritable multilatéralisme et soutient toutes les parties dans la participation à la Conférence conformément aux lois et règles concernées.

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